C’est l’ennemie juré des nutritionnistes et de bon nombre de militants écologistes. En quelques années, l’huile de palme est sortie d’un anonymat relatif pour devenir l’emblème d’un monde à la dérive, saturé de gras et déforestant une planète à l’agonie, pour le simple plaisir de manger de la pâte à tartiner.
Paradoxalement, les défenseurs de l’huile de palme objectent en vantant ses vertus, ses faibles besoins en eaux, et assurent qu’il est possible d’imaginer une production éthique et respectueuse de l’environnement.
Que reproche-t-on concrètement à l’huile de palme et à sa production ? Pourquoi est-elle devenue un tel symbole ? Quelles alternatives sont proposées ?
Thomas Rozec interroge Frédéric Amiel, chercheur à l’IDDRI.
JEUDI 27 FÉVRIER
9h – 9h20
Radio Béton 93.6fm ou www.radiobeton.com