Ce Mercredi 16, nous recevions Amandine des Tontons Filmeurs et Claire du Temps Machine, pour nous parler de la nouvelle édition de RécréAction, THE événement cinéma pour les enfants ! Une journée pour éveiller la curiosité des plus petits pour le cinéma à travers des projections de qualité, des lectures, des ateliers et des démonstrations ludiques. Pour les enfants de 3 à 12 ans.
Ce Mardi, nous recevions la Compagnie Art Multiples et Le Zèbre / Slam venus nous parler dans leur soirée Ciné/ Slam / Apréo autours de la réalisation de Tony Gatlif : Swing.
Enfin le retour du duo magique venu tout droit de Providence: Lightning Bolt. Plus de vingts ans de carrière pour le groupe , et un 7ème album imparable que ne décevra aucune attente.
Les américains sont avant tout des machines de guerres de live, des pures adeptes de concert en pleine fosse, noyés dans le public, donnant un autre sens à la vie de chaque spectateur, un avant/après où plus rien ne sera plus jamais pareil,
Un 7ème album donc pour la formation Basse/Batterie, mais seulement le deuxième enregistré en studio. Une véritable nécessité tant cela sert à merveille les propos musicaux du groupe, l’ampleur du son s’en retrouve inéluctablement plus intense, à l’image des prestations live proposée par le binôme. Sonic Citadel, le nouvel opus qui parait sur le label Thrill Jockey, bourrine d’entré de jeu avec « Blow To The Head », l’uppercut qui te prépare aux 53 minutes de castagnes qui suivent.
Les rythmes de batterie de Brian Chippendale, avec son style de jeux si particulier, distribuent des convulsions frénétiques aux côtés des riffs exutoires assurés par l’aiguisé Brian Gibson et ses assaults sur les cordes de sa basse.
Le rythme noisy transcendantale continue, on pense même pouvoir respirer quelques instant sur « Air Conditioning » mais que nenni (tellement désemparé, qu’ici même l’expression « que nenni » en devient nécessaire). C’est alors qu’arrive certainement l’une des pièce maitresse de l’opus: « Big Banger ».
A partir de ce moment, il n’y pas qu’un seul désir, qu’une seule obsession à assouvir: celle de vivre ces morceaux avec le groupe, mettre la tête dans l’ampli bass, prendre les variations de cymbales en plein conduit auditif.
Ce jeudi, Sonia recevait l’un de représentant en chef de Ener’Veretz venu nous parler de la deuxième édition du Veretz Impro Festival que se déroule les 4 et 5 Octobre 2019 à la salleEugène Bizeau:
Un honneur que d’accueillir JiPi dans la Cie Colbok venue nous parler de la nouvelle édition de L’Art Prend L’air se tenant à Reugny les 28 et 29 Septembre 2019:
Ce Mardi 24 Septembre, nous recevions l’équipe de l’Ecole de la Deuxième Chance Tours dont l’objectif est de favoriser l’insertion professionnelle et sociale par le retour à l’emploi durable et/ou la formation qualifiante. Un dispositif de formation qui s’adresse aux jeunes adultes de 18 à 30 ans demandeurs d’emploi, sans qualification et sortis du système scolaire depuis au moins un an.
Ce midi, nous recevions une partie de l’équipe de la salle Diff’Artsituée à Parthenay. Elles étaient venues en profiter pour nous parler le première édition de Qui Sème le Son:
La fougue et le célèbre flegme Britannique alliés à l’efficacité absolue et à la hargne contestataire: une recette parfaite pour nous amadouer du côté de Béton.
Le quatuor Bad Breedingrevient avec un nouvel album, « Exiled », et ils ne sont pas là pour enfiler des perles. Un gifle à l’aller, une autre au retour. Voyage dans le punk Anglais, conjugué au Hardcore et au noisy.
Et même anarcho-punk comme ils se l’auto-proclament. Les quatre de Stevenage (UK) sont énervés, confrontés à leur société, ils mettent en exergue tous les reliefs aberrants du monde qui nous entoure et viennent acidifier des pensées qui pourraient avoir tendance à se lisser. A travers cet album, nous faisons face à toute la rage du groupe, nous entrainant dans un rythme effréné à leur sauvagerie: c’est le chaos.
32 Minutes âcres, démarrant dès le morceaux éponymes Exiled, l’efficacité est là, et les concessions absentes, c’est lourd, intense, un son crade à souhait couvert d’une belle production. Les types sont remontés, et ça se ressent tout au long de l’album. Cette énergie imbibée de bière jusqu’à la moelle est représentative des prestations scéniques du groupe, bourrue et dans l’urgence.
A une époque où le post-punk revient sur le devant de la scène, et où le dit punk d’une certaine scène anglaise trouve ses limites rapidement, il est rassurant de se dire que des groupes tels que Bad Breeding sont actifs, sans détours, remontés à bloc.
Une merveille punk, une beauté cataclysmique, une agressivité furieuse.
Bad Breeding
Exiled
21.06.19
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