(DBSR) EN KIOSQUE – BLUES MAGAZINE N° 97

Donc pour votre Blues Magazine n 97, c’est le grand Popa Chubby qui est en couverture.
Il sera en kiosque ke mercredi 17 juin.

Au sommaire :
– un très beau dossier sur Roger Mason
– une saga consacrée à George Harmonica Smith

Les interviews :
– Popa Chubby
– Paco Duke
– Kevin Denard
– Jacques Falda
– Bay Kamara
– Liz Mandeville
– Reginald Vilardell
– Julia Biel
– Perfecto Blues Radio

Et les rubriques habituelles, l’Harmo de Greg, La Lettre et l’esprit, la Slide Guitar de Gérard Vedeche, la batterie de Been’s, Surfin Blues, les chroniques livres, CD et DVD….

Bonne lecture à toute et à tous.

(DBSR) Podcast – émission du 16 juin 2020 At Home

Johnny Winter-Step Back-Megaforce Records-2014-Unchain My Heart-Where Can You Be

The Steepwater Band-Turn Of The Whell-Diamond Day Records-2020-Please The Believer-In The Dust Behing

The Nighthawks-Tryin’To Get To You-Eller Soul Records-2020-Don’t Worry Baby-Baby It’s Time

Sari Schorr-Never Say Never-Manhaton Records-2018-Thank You-Turn The Radio On

Mikka Grytviken-Corporation Long Stay-Groove Machine Records-2018-She’s Gone-If The Magic Rules

Washing Line-Not On Label-2018-Talk Is Cheap-Never Walk Alone

Béton Frais

IST3PDub Buiness (présenté par Mel P)

Datcha MandalaHara (par Antho)

Sei Still – S/T (par Ludo)

Mr Godson (Will Be The Lasr One To Survive) – En soirée je ne danse pas (par  Mel P.)

Hinds – The Prettiest Curse (par Antho)

Régina Demina – Hystérie ! (par Robin)

Philippe Cohen Solal/ Angélique Kidjo / Mo Laudi – Afro Bolero (par Ludo)

The Architect – Une Plage sur la Lune (par  Antho)

*** ALBUM DE LA SEMAINE: Westerman Your Hero Is Not Dead (par Mel P.)

AloisAzul (par Mel P.)

L’éclair – Noshtta (par Ludo)

OordayaTrees (par Sonia)

The Howlin’ City – Tales From The Trash Can (par Robin)

Riot Pata Negra – Overkill (par Mel P.)

Druids Of The Gué Charette – Talking To The Moon (par Ludo)

[RIFFS 70] Emission spéciale B.O du film HAIR

Aujourd’hui nous avons parcouru la B.O du film HAIR, réalisé en 1979 par Milos Forman et inspiré de la comédie musicale créée 11 ans auparavant.

Dans l’ordre du film, nous avons écouté :

– « Aquarius »
– « Donna/Hashish »
– « Manchester »
– « I got life »
– « Hair »
– « Hare Krishna »
– « Black Boys / White Boys »
– « Easy to be hard »
– « Walking in space »
– « 3-5-0-0 »
– « Good Morning Starshine »
– «Let the Sunshine in »

Podcast à venir !

(DBSR) L’album du jour – Jay Gordon & Blues Venom – Slide Rules !

L’album du jour
Artiste : Jay Gordon & Blues Venom
Titre : Slide Rules !
Sortie : 2019
Label : Shuttle Music

Si vous aimez la guitare avec des riffs explosifs cet album est fait pour vous. Jay Gordon et Blues Venom continuent et développent leur amour de toujours pour le vrai blues brut sur un nouvel album , le 15 éme, appelé Slide Rules.
Jay Gordon a grandi à Chicago, l’épicentre du blues électrique. Tout au long de sa carrière, il est devenu célèbre pour ses solos de guitare torrides, avec conviction et passion, et son dévouement au blues. Bien qu’inspiré par des gens comme Buddy Guy, Johnny Winter, Jimi Hendrix et Stevie Ray Vaughan, Jay Gordon nous propose sa propre musique de Rock ‘n’ Blues Boogie puissante. Il était l’un des 50 guitaristes choisis par Eric Clapton pour se produire au Festival Crossroads 2004. Il a joué avec une flopée d’artistes de renom comme Johnny Winter, ZZ Top, Lynyrd Skynyrd, Paul Rogers et Bad Co.,38 Special, BB King, Def Leppard, Buddy Guy, Albert Collins ou il a fait la première partie de certains. Il a remporté un nombre incalculable de trophées & de récompenses.

[RIFFS 70] ÉMISSIONS DU 06 JUIN 2020

La playlist avec toutes les infos :
Trust – Police Milice (1979)
Badfingers – Come Down Hard (1979)
Bread – Guitar Man (1972)
Cactus – Feel So Bad (1971)
The Foghat – Fool For The City (1975)
Little Feat – Fat Man In The Bathtub (1976)
[Y’A PAS QUE DU ROCK] Black Devil Disco Club – We never Fly Away Again (1978)
The Foreigners – Feel Like It Was The First Time (1976)
MC5 – Baby won’t Ya (1971)
Back Street Crawlers – Rock N Roll Junkie (1975)
Ted Nugent – Cat Scratch Fever (1977)
George Thorogood and The Destroyers – Bad To The Bones (1982)
Le podcast :

Rendez-vous samedi prochain !

(DBSR) Podcast – émission du 9 juin 2020 At Home

Layla Zoe – Retrospective Tour 2019 – Layla Zoe Music 2020
Someday (04:50) Backstage Queen (05:40)

Ruzz Guitar’s Blues Revue – Live At The Louisiana – Not On Label 2020
Baby Please Come Home (06:10) Back Home To Stay (04:26)

Sass Jordan – Rebel Moon Blues – Stony Plain 2020
The Key (04:11) Still Got The Blues (05:43)

Band Of Heysek – I’m Glad I Met You- Indies Scope Records 2019
Nothing Is White (03:32) Meet Me (06:21)

Chasin’The Train – Dead Man’s Handle – Not On Label 2020
Whisky Bottle (03:09)

George Hotte Miller – Valley Blues – Records DK 2020
I Don’t Need No Religion (04:56)

Le Béton Frais de la semaine !

Émission du 08/06/20

Two Fingers – Fight! Fight! Fight! (présenté par Ludo)

BBCC – Altered States of Consciousness (présenté par Enzo)

Ohmme – Fantasize your ghost (présenté par Mel P)

Freddie Gibbs & The Alchemist – Alfredo (présenté par Ludo)

V/A – Génération Déviante (présenté par Robin)

O.B.F – Signz (présenté par Enzo)

Fake Name – S/t (présenté par Anthony)

Fontanarosa – Fontanarosa (présenté par Mel P)

Brahim – Ainsi vivent les hommes (présenté par Enzo)

Run The Jewels – RT4 (présenté par Ludo) **album de la semaine**

Dune & Crayon – Hundred Fifty Roses (présenté par Robin)

TootArd – Migrant Birds (présenté par Enzo)

Jeff Rosenstock – No dream (présenté par Anthony)

Sunbather – Tunnel of Love (présenté par Mel P)

Sébastien Tellier – Domecticated (présenté par Robin)

LA Priest – Gene (présenté par Enzo)

The Cool Greenhouse – S/t (présenté par Mel P)

Populous – W (présenté par Anthony)

Rubin Steiner – Fête (présenté par Enzo)

The Chain Gang of 1974 – Honey Moon Drips (présenté par Anthony)

(DBSR) R.I.P Frank Bey (1946-2020)

bien qu’il ait baigné dans la musique toute sa vie, Frank Bey a dû attendre d’être sexagénaire pour atteindre une certaine reconnaissance au niveau du public blues et soul… Originaire de Géorgie, il se produit dès son enfance sur le circuit gospel local au sein de groupes familiaux, avant de s’installer à la fin de son adolescence à Philadelphie où il travaille en tant que chanteur pour le très influent Gene Lawson, mais doit attendre le milieu des années 1970 pour faire ses débuts discographiques au sein du groupe The Moorish Vanguard Concert.

Initialement paru sur le micro label local Country Eastern, The sunset of your love est repris par Polydor, qui abrège le nom du groupe en Moorish Vanguard, rebaptise la chanson Sitting in the sunshine of your love et attribue à James Brown la production du disque ! L’imbroglio aboutit à la séparation du groupe et Bey quitte la musique pendant plusieurs années jusqu’au milieu des années 1990. Paru en 1998, son premier album, “Steppin’ Out” passe à peu près inaperçu, de même que son successeur, sorti en 2007, “Blues in the Pocket”.

Il faut attendre le début des années 2010 et son association avec le guitariste Anthony Paule – un ancien de l’orchestre de Johnny Nocturne, figure de la scène de la baie de San Francisco – pour que son talent explose réellement, grâce à l’album live “You Don’t Know Nothing” puis au disque studio “Soul For Your Blues”. Sa venue en 2014, à l’initiative de Graziano Uliani, au festival de Porretta, avec le groupe de Paule, lui permet de se faire remarquer du public européen – il deviendra un habitué de l’événement les années suivantes.

Malgré des problèmes de santé récurrents, il poursuit sa carrière avec Anthony Paule (“Not Goin’ Away”, crédité au Bey Paule Band), puis, après quelques années de silence discographique, sous la houlette de Tom Hambridge, producteur habituel de Buddy Guy, pour l’album “Back In Business”, et du duo Kid Andersen-Rick Estrin pour “All My Dues Are Paid”, paru il y a quelques mois. Ce dernier disque vient clore une discographie courte mais exemplaire – aucun de ses albums parus depuis 2013 n’a reçu une note inférieure à 4 étoiles dans nos colonnes ! Interviewé dans le numéro 220 de Soul Bag, Frank Bey ne semble pas s’être produit en France.