KORN – Korn

Bienvenue dans mon adolescence.

Oui il fallait bien s’y atteler. La pression s’éveille.

Oui je vais bien parler de Korn.

Oui le fondateur du fan club français était dans les locaux de radio béton il y a quelques années maintenant ( Coucou Thomas Vdb ).

Bref.

Vous entendez en fond Blind.
Le 1er morceau du 1er album Korn de Korn.

Pour un premier morceau, c’est un classique.
La première fois ou ce morceau a fait son effet, je devais avoir 12 ans et j’étais dans une voiture avec mon oncle et un pote à lui dans le centre ville d’Amboise.
Thug life me direz vous, et bien presque, car c’est à ce moment que mon oncle décida de mettre l’album et de le mettre à fond, fenêtre ouverte.
Pour le coup je n’ai aucune idée de la réaction des gens car j’ai découvert le headbang involontaire.
Pour la première fois de ma vie, les mouvements de mon corps pouvaient traduire d’un certain autisme couplé à un syndrome de Gilles de la Tourette.
Grosse introduction mais le morceau Blind méritait bien ça. Sachant que même encore il semblerait que le groupe commence avec ce titre leurs lives. En tous cas en 2014 au zénith, on y a eu le droit.

2ème titre de cet album et deuxième baffe pour ma part.
La rythmique et la guitare donnent un côté puissant qui vraiment m’a donné cet amour de la musique un peu lourde dans le son.
Et ce côté un peu fou qui m’a fait imaginé un nombre incalculable de clip sur ce titre.
La folie, c’est un peu ce que me faisait ressentir cet album d’ailleurs.

Mais avant la folie, cet album est bourré d’énergie et de bonne humeur.
Sorti en 1994 même année que l’ouverture du tunnel sous la manche.
Ce qui est dingue c’est la présence de ce 1er album dans de nombreuses générations, qui n’étaient pas prêtes à écouter ce genre de choses en 1994. Et pourtant c’est cet album qui a marqué le plus de gens.
Avant de vous laisser avec un titre il fallait faire un crochet vers le titre Shoots and ladders.

Et oui de la cornemuse c’était osé et ça aussi ça a marché.
De même 20 ans après toujours présente sur leurs lives et ça fait son petit effet en live de voir Jonathan Davis débarquer en kilt.

Et je vous laisse sur le morceau Lies, morceau que j’aurai adoré clipper aussi d’ailleurs. Et toujours cette basse sale très sale.

Sur ces beaux mots je m’en vais.

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