Chaque dimanche sur le 93.6FM à partir de 23h, et depuis 1999, le rendez-vous des musiques électroniques prend place pour votre nuit. Mélange entre Ambient / Noise / Experimental / Techno / Drone / Minimal / Contemporary Music , son rôle est de ne pas caresser dans la bon sens du poil mais au contraire rendre votre état plus physique, et au plus près de la nature même des sons et de la création.
Voici l’alternative : Elle sera ici, et son but sera de (re)jouer l’émission, si vous l’avez raté. Bonne écoute.
Daphni (aka Caribou / Manitoba) s’appelle en réalité Dan Snaith. Le 5 octobre 2012 pour la sortie de son album « Jiaolong », il s’est lancé dans une sélection toute une nuit, au Bussey Building de Londres.
L’association La Bulle recherche pour la deuxième édition du Worskshop des créateurs d’objets, vêtements, accessoires, mobiliers, ainsi que des graphistes, dessinateurs, plasticiens pour venir exposer dans le péristyle de la Mairie de Tours les 20, 21, 22 et 23 décembre prochains. Si vous souhaitez participer à l’évènement merci d’ envoyer une présentation de votre travail avec texte, photos et site Internet si possible à contact@collectif-la-bulle.com (tiret du 6 !). Pour plus d’informations retrouvez nous sur Internet : http://www.collectif-la-bulle.com/
Et retrouvez Radio Béton en direct du Workshop le jeudi 20 décembre!
Un album à climat sonore pour toute saison climatique.
Une habitude s’impose chez le label Daptone : C’est le grain. L’aspect sonore à la fois chaud et rond, qui transpire, non pas l’excès trop évident du Funk et de la Soul d’avant, mais qui joue sur des repères très intègres. Chez le groupe de Charles Bradley, le 4ème album sonne comme une aventure sonore, ou “In Cold Blood†de Quincy Jones drague Lalo Schiffrin. Un disque de cinéphile à l’oreille, en clair.
Jamais imposant et d’une durée parfaite (environ 30 minutes), la chaleur des cuivres lui donne tout son sens, avec un vrai sens de la mélodie qui reste dans la tête (Keep Coming Back). Hyper dense et prêt pour un voyage entre l’Amérique et la musique éthiopienne moderne (les quelques variations de Sleight Of Hand et surtout Ivory and Blue, finement bien construite), Menahan Street Band s’ouvre dans cet album à une richesse sonore qui fait du bien à entendre. Le background des cinq gars s’entend clairement, et ce, avec une classe indémodable (Everyday A Dream), tandis que la guitare s’élève à une Pop-Americana avec toujours une touche Funk, plus fine mais gardant une ligne éditoriale cinématographique (Drifwood, qui fait penser à du Ry Cooder).
Pas besoin d’en dire des tonnes sur “The Crossingâ€. C’est d’une clarté tellement libre qu’il en devient, au fil des écoutes, indispensable.