Alestorm – No Grave but the Sea

Le Pastafarisme est une croyance créée par Bobby Henderson en 2005 dans le but de protester contre la décision du Comité d’Éducation de l’État du Kansas d’autoriser l’enseignement du dessein intelligent (tout arrive parce que Dieu le veut) dans les cours de science au même titre que la théorie de l’évolution.

Il professe sa foi en un dieu créateur surnaturel dont l’apparence serait celle d’un plat de spaghetti et de boulettes de viande et demande que le pastafarisme reçoive une durée d’enseignement égale à celle du dessein intelligent et de la théorie de l’évolution.

Les pirates sont vénérés comme les premiers pastafariens, et les pastafariens affirment que le constant déclin du nombre de pirates au cours des dernières années a entraîné… le réchauffement climatique.

Les membres d’Alestorm sont-ils pastafaristes ? Ou juste des pirates beurrés ?

Je fais partie de ceux qui sont convaincus qu’Alestorm ne s’est pas formé uniquement pour boire de la bière, du rhum et des femmes nom de dieu, mais pour un dessein bien plus grand, relancer l’âge d’or de la piraterie et sauver la planète du terrible réchauffement climatique.

Et pour cela, ils ont sorti leur cinquième album « No Grave but the Sea » afin de réunir tous les pastafaristes du monde sous une seule et même bannière, celle de la beuverie et de la franche camaraderie.

Avec Christopher Bowes au chant, Gareth Murdock à la basse et aux chÅ“urs, Pete Alcorn à la batterie, Elliot Vernon aux claviers et Máté Bodor à la guitare, les papas du pirate métal nous servent ici un album sans failles qui nous fait voyager un verre à la main depuis les tréfonds des océans jusqu’à Mexico.

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