[LUNDISPENSABLE] Daft Punk – Alive 2007

En 2007 j’étais au collège, et sur la plupart des grandes ondes on pouvait entendre ça :


Je dois avouer qu’entre Tokio Hotel, Slipknot, Danakil et compagnie, très en vogue à cette époque parmi mes camarades collégiens d’Azay le Rideau, Alive de Mondotek c’était ce qui se rapprochait le plus de mes gouts musicaux. Mais n’ayant jamais été fan des pantalons slims blanc et tshirts rose à aigle noir, j’échappais de justesse aux battles de danse dans la cour de récré.

Un déhanché à la Travolta, des bras qui moulinent non-stop, un jeu de jambe à faire pâlir de jalousie un boxeur professionnel et de l’énergie à revendre. Voilà les ingrédients de la tektonik.

Mais ce n’est pas cet Alive le sujet. L’album dont je vais vous parler aujourd’hui a été salvateur, on me l’a offert en m’annonçant :

« J’ai hésité entre ça et une compil’ de tektonik. »

Cet album providentiel c’est Alive 2007 des Daft Punk. Je suis rarement aussi heureux et soulagé à la fois que j’y repense.

Je ne vous présente pas Thomas Bangalter et Guy-Manuel de Homem-Christo, ils étaient déjà très connus à l’époque, encore plus maintenant. J’avais déjà écouté leurs albums avec intérêt, surtout Discovery en fait, qui reste mon album préféré de tous les temps, Homework m’ayant à l’époque moins plu, et Human After All restant bien particulier. Ce deuxième album live a largement éveillé mon gout pour les musiques électroniques et constitue sans doute le sujet de mes premières discussions musicales avec mes potes.

A sa sortie en novembre 2007, ça fait un an environ que le duo est en tournée mondiale, et du haut de mes 11 ans je suis bien frustré de ne pas pouvoir assister à ça. Comme tout le monde j’avais au moins eu un aperçu bref mais intense grâce au single et au clip Harder Better Faster Stronger Alive 2007 sorti un mois plus tôt, assemblage de plusieurs vidéos amateurs qui laisse entrevoir un spectacle lumineux presque aussi intense que la musique. Titre légendaire que l’on ne retrouve d’ailleurs pas tel quel dans l’album.



Les deux artistes sont juchés au sommet d’une pyramide lumineuse devant un vrai mur de LEDs d’ailleurs représentés sur la pochette de l’album, et dans laquelle ils contrôlent à distance un ensemble de machines colossal à l’aide d’Ableton Live, de contrôleurs MIDI et de synthés Moog d’une trentaine d’années. Une performance live donc et non préenregistrée ni un simple DJ set, ce qui leur permet de modifier certaines parties à volonté d’un concert à l’autre. Une performance qui fera date dans la musique électronique et marque durablement la manière de concevoir un live.

Les 12 pistes de l’album, sont extraites de la captation faite lors de leur passage à Paris Bercy le 14 juin 2007. Si l’album s’écoute parfaitement d’une traite, le découpage est fait de manière assez savante pour que chaque titre puisse s’écouter indépendamment, les cris du public ajoutant d’ailleurs à la transe qu’est chaque morceau. Je découvrais quelques temps plus tard le rappel, treizième piste sortie uniquement sur la version deluxe de l’album, celle que je n’avais pas évidemment. Un mix absolument fantastique, comportant Human After All qui contient toute l’ambiguïté voulue par le duo, One More Time un de leur plus gros hit, Music Sounds Better with you de Stardust où figure Thomas Bangalter ainsi que Together, de son duo éponyme avec DJ Falcon.

Plus d’une trentaine de morceaux extraits de leurs précédents albums sont disséqués, remixés, modifiés et mélangés pour obtenir presque une heure et demie démentielle de live 100 % Daft Punk. Alliage parfait de leurs précédents albums, pourtant aux styles assez différents. Jusqu’à 4 ou 5 de leurs titres se mélangent à la fois et se complètent de manière cohérente et totalement jouissive. Certains de manière si subtile qu’ils ne sont même pas crédités, comme Revolution 909 et Nightvision dont on retrouve quelques éléments sur ce morceau:


C’est la claque ultime, des remix et mashups de leurs morceaux il y en a eu et il y en aura des tas, mais personne ne pourra se targuer de pouvoir les remixer mieux qu’eux-mêmes. Après ça leurs album studios me paraitront plus fade pendant un bon moment.

Alive 2007 est certifié deux fois disque de platine en France, se classe dans les charts du monde entier et leur vaut une nomination aux victoires de la musique et l’obtention de deux Grammy Awards, leurs premiers. C’est également mon premier CD du groupe, ce que je corrigerai en m’achetant tous les autres ensuite, c’est d’ailleurs les seuls dont j’ai acheté des CD. Même si je les avais déjà téléchargés.

Après 1997 et 2007, les rumeurs d’une tournée mondiale vont bon train lorsque 2017 approche. Surtout qu’avec Random Access Memory sorti quatre ans plus tôt et la B.O de Tron Legacy en 2010, il y a matière à faire du très bon sur scène, d’autant plus que le duo est resté assez discret à l’exception de quelques collaborations sur l’album Starboy de The Weeknd.

La déception est grande lorsque les années passent sans aucun signe de live en vue. Enfin, pour nous pauvres manants, puisque le duo est apparu fortuitement à la fin du concert de Phoenix en 2010 au Madison Square Garden ou à l’occasion des cérémonies des Grammy Awards en 2014 et 2017.

14 ans après, une copie de leur concert enregistré au Lollapalooza à Chicago me permet enfin de profiter de la partie visuelle de cette performance, Merci internet, et wow, c’est magnifique, j’envierai toujours ceux qui ont eu la chance d’y assister. Le groupe lui est toujours moins présent médiatiquement alors que sa popularité avait explosé, laissant libre court aux rumeurs les plus folles les concernant. Une attente bien trop longue pour tous les fans comme moi qui désespèrent de les voir un jour en live.

Je me console comme je peux, avec le rappel, imaginez-vous après plus d’une heure de live de folie, finir par ça, Human After All/Together/One More Time/Music sounds better with you. Vous l’analysez comme vous voulez, moi je pense qu’il n’y a qu’après ça qu’on peut mourir en paix.

Futur Mix 07

De l’Electronica à l’Ambient ; de la Techno-Pop à la Techno de Warehouse ; de la House à la Drill’n’Bass et du Hip-Hop au Funky Fresh.

  1. Inmost – The Way Of Things (La Luna)
    – Réminiscence d’une certaine Electronica pastorale des 90’s avec ce producteur, auteur d’un album qui aurait pu sortir jadis sur le label Morr Music.
  2. Pole – Röschen (Mute)
    – Le retour d’un des producteurs les plus étonnants des 25 dernières années, qui a révolutionné le Dub en y créant des erreurs et une pulsation unique, tout restant humble et minimal. Son nouvel album Fading est le plus fragile, parlant à sa matière de sa mère atteinte de la maladie d’Alzheimer.
  3. DJ Cam – Aquaverde
    – Un sample d’un disque de musique Brésilienne et vogue le navire. C’est serein et un peu Easy-Listening. Un peu paresseux le musicien Français ? Parce-que il y a 25 ans …
  4. iO – Libre (1995 – Mo’Wax)
    – Les 4 gugus Autrichiens de iO assemblé un Dub sous écho urbain bien plus travaillé et hypnotique que DJ Cam, et qui a fait l’histoire du label Mo’Wav. Alors que DJ Cam, là, excuser du peu mais, c’est bien éphémère.
  5. Isan – Nothing Picked And Placed Nowhere (Wiaiwya)
    – Le groupe de Robin Saville, en activité depuis 20 ans avec des albums de Pop-Electronica sur le label Morr Music propose en trois découpage un morceau hors du temps, qui peux être répété à l’infini. Il y a une version de 77 minutes ; de 7 minutes et 7 secondes, à vous de choisir.
  6. Jneiro Jarel – Trop Pics (Far Out)
    – Avec un setup très simple (Portable ; clavier MIDI ; Micro ; Bongos ; guitare acoustique et enceinte portable) et un voyage entre New Work ; New Orleans ; Miami & Costa Rica, le producteur infuse ses influences Tropicalia dans un album riche et dense. Trop oublié depuis presque 20 ans, son retour est bien plus qu’anecdotique.
  7. Jane Weaver – The Revolution Of Super Visions (Fire)
    – 1er extrait de son nouvel album « Flock » qui sortira le 5 mars 2021 sur le label Fire Records, c’est un nouveau virage pour elle, plus Funky, plus Prince. Coup de coeur du Futur Mix.
  8. Ela Minus – El Cielo No Es De Nadie (Domino)
    – Autre productrice qui ne durera pas une saison, mais en totale confiance pour éviter l’exercice de style : Ela Minus sort son premier album anti Techno minuté sans évolution, mais avec une vrai dose de Pop et d’esprit Kraftwerk. Autre coup de coeur du Futur Mix.
  9. Todd Edwards – Inspire Me (Nuvolve)
    – Dans la sphere House depuis de nombreuses années, producteur au côté de Daft Punk, et un technique de découpage qui ne ressemble qu’à lui. Deep, House et romantique, un des meilleurs morceaux de Todd Edwards depuis longtemps.
  10. Thundercat – Fair Chance (ft Ty Dolla Sign & Lil B – Floating Points remix)
    – Encore un strike pour l’Anglais qui remix en mode catchy un morceau du dernier album du bassiste. Tout cela swing.
  11. Gerry Read – Sunshine Kissing (Ministry Of Sound)
    – Retour du producteur Anglais loin de la House Lo-Fi de ses débuts. House Happy Easy-Listening, ça s’écoute bien.
  12. Aaron Spectre – Riot Beats
    – Ou comment faire sonner une Gameboy comme une terreur musicale, sous influence Jungle & Drill’n’Bass.
  13. Perc – Snare (Perc Trax)
    – Droit, carré, indus & d’une énergie typique d’une Warehouse, Perc s’est inspiré d’un Live qu’il a donné en 2019 pour le festival Unpolished à Amsterdam.
  14. Seven Davis Jr – Come Together
    – Une transformation étonnante du morceau de John Lennon, qui transpire le Funk moite à la Prince, enregistré en 2013. Le nouvel album de l’Américain arrive en 2021, avec un premier extrait en décembre.
  15. Pink Siifu x Fly Anakin – Dollar Dr Dream (Lex)
    LP FlySiifu’s
  16. Ankhlejohn – Man On A Mission (Prod Navy Blue)
    – 4 REAL
  17. Craig David – Fill Me In (Artful Dodger’s Bootleg Mix)
    – Il y a 20 piges, le beau gosse du West-London sortait son 1er album et réveillait les petits et les grands chaque matin de février à décembre sur la BBC Radio 1 et Skyrock en France. Et pour cette dernière, dans le morceau « Fill Me In » c t la 1ère et la dernière fois qu’on entendait le son populaire de l’Angleterre et des Sound-System : UK Garage & 2Step. Ici une version du producteur Gold des années 2000, Artful Dodger, peu connu car uniquement sorti dans un vinyl promo pour l’Angleterre.
  18. Bahamadia – Special Forces ft Planet Asia, Rasco, DJ Resolution & Chops (2000)
    – La reine toujours humble du Hip-Hop des 90’s Bahamadia et son BBQueen EP.
  19. The Supermen Lovers – Pigeon (La Tebwa)
    – Supa Funky Supa ludique à la Mr Oizo, en attendant le 4ème album en 2021.
  20. Felix Da Housecat & Ali Love – My Life Muzik
    – 21 ans après, Felix Da Housecat retouche à sa manière avec une atmosphère mélancolique et une nouvelle, celle de Ali Love d’Art Department. Plus de 20 ans après, c’st un GOLD.
  21. Audeka – Grass (Yuku)
    – Abstrait Hip-Hop bien Blunt avec une belle découverte du trio Audeka.
  22. John Monkman – Cartesian Strings
    – De droite à gauche du casque, une vision très belle de la musique avant-garde.
  23. Max Cooper – Swarm
    – Travaillant la matière sonore d’une façon précise afin de se rapprocher de plus en plus des sons de la nature, Max Cooper offre un maxi magnifique, très riche dans les textures.
  24. Worriedsboutsatan & Veins Full Of Static – How Soon Will You Sleep After You Let The Ship Sink

Futur Mix Hors Série 02 – Ela Minus

Le premier album d’Ela Minus sort sur le label Domino Records. Réalisé dans une méthode D.I.Y, avec que du Hardware, et une vision très claire de la Techno-Pop, entre Kraftwerk & The Knife, loin d’être dans un album DJ-Tool uniquement pour les Clubs. Une écoute domestique est aussi possible sur quasiment que des tubes.

Pendant 60 minutes, elle nous propose sa vision du Post-Clubbing, entre Techno brumeuse et effets Breaks.

Plus d’informations : BANDCAMP / LABEL /

BSN Podcast – Andrew Weatherall Tribute

Démarrant sur les starting-blocks de la scène acid-house, l’auteur s’est lancé sur un partage innovant et psychédélique sur l’album Screamadelica de Primal Scream (1992) et Hallelujah de The Happy Mondays (1990). Pour lui, la dance-music se dissèque avec l’esprit de la nonchalance et l’ouverture vers d’autres mondes, c’est-à-dire les after et l’extase.

Suivront ensuite des remixes progressifs pour My Bloody Valentine ; Finitribe ; Stereo MC’s. Les sons se font plus chauds avec son projet Sabres Of Paradise vers 1994, et avec son ami Keith Teniswood se crée Two Lone Swordsmen, pseudo plus abstrait et expérimental (et le tout chez Warp). Aucune classification est de pair avec lui, le mec est assez instable, et l’est toujours autant dans les années 2000 avec son label Rotters Golf Club. C’est ce que les anglais appellent Leftfield (son groupe The Asphodells avec Tim Fairplay en était toujours la preuve).

Honnête, tout en prenant de la distance à la musique Business, et humble.

Il avait 56 ans.

DREAM NATION 2019, LA FOLIE DOUCE ELECTRONIQUE

La fin de l’été s’anime dans le nord de Paris avec des ambiances gris métal et soleil ardent. Autant vous dire que depuis six ans, le festival DREAM NATION sait s’occuper des festivaliers avide de taper du pieds et de Raver les têtes dans les étoiles.

Du 20 au 22 septembre à Aubervilliers, on traverse le périph pour découvrir un lieu important au niveau national : Les Docks de Paris. Mais aussi la Gare des Mines, lieu alternatif qui prend la contre-culture au sérieux. Plus de 60 artistes sur 8 scènes durant un week-end, en ajoutant un esprit joviale digne des Raves des 90’s, et des ouvertures musicales de notre temps comme le Dubstep ; Hardstep ; Hardcore ; Gabber ; Techno ; Bass Music et Transe Full-On et Psychedelique.

Alors si vous êtes perdu et vous avez un brin de curiosité, on en parle dans le BSN Podcast avec une sélection de 13 artistes qui se produiront durant les trois jours.

Regal – Slab
Shifted – Vacive
Johannes Heil – Scene Six
Rob Gee & Ralphie Dee – Dirty Nursery Rhymes
Lady Dammage – Jungle
12th Planet – Stank Gum ft LUMBERJVCK
Dubloadz – Space Goats
Figure – Eagle ft Mr Lif
Delta Heavy ft Dead Zeds – Lift U Up
Morten Granau & MVMB – Thoughts
Major7 & Sub6 – Sub7
Black Sun Empire – Caterpillar ft Virus Syndicate

L’introduction se fera au Dock Eiffel le 20 septembre avec une raison valable d’y aller : la formation inédite avec Randomer & Clouds (Headstrong), soit une rafale de heavy kicks Techno & Raw Acid. Le lendemain, le choix est dense alors fête vos jeux et pour finir, l’After à la gare des Mines (à partir de 7h) réunira trois collectifs de musiques du Dancefloor.

Downlink, 12th Planet, Black Sun Empire, Dubloadz, Delta Heavy, Figure, Spag Heddy, Megalodon, PhaseOne, Infected Mushroom, Major7, Bliss, Morten Granau, Ritmo, Radical Redemption, N-Vitral, Andy The Core, Lady Dammage, Rebelion, Malice, Tieum, Rob Gee, Partyraiser, Luke Slater aka Planetary Assault Systems, Johannes Heil, Shifted, Keith Carnal, Zadig, Regal, Ets …

Plus d’informations :

Billetterie / Event Facebook / Instagram / Officiel

BSN Podcast – Les émissions de Février

Retour sur les émissions du mois de février du BSN Podcast.

Pour revenir à l’histoire de l’émission, le BSN Podcast est une extension du domaine de la lutte pour l’ouverture des musiques électroniques, mais aussi des musiques de la sono mondiale et Afro-US, chaque vendredi à partir de 14h.

Au début : de l’Ambient Drone.
Au milieu : du Hip-Hop.
Pour la fin : de la Synth-Pop très D.I.Y.

Au début de l’émission : Electro Weirdo Acid IDM
Au milieu : Bouncy & Abstrakt Shiiiet
En conclusion : Leftfield Deep House

Finlay Shakespeare – Domestic Economy (eMego)

Énergie communicative pour renaissance Underground.

C’est avec un certain étonnement que le début d’année s’annonce plutôt Pop de la part d’un label culte de la musique savante et le plus contemporain : eMego. Crée par Peter Rehberg en 1996, la structure a donné corps au plus bel des albums Pop de notre époque (Endless Summer de Fennesz en 2001) et à d’autres rhizomes avant-gardistes (Mark Fell ; Russell Haswell …). Natif de Bristol, Finlay Shakespeare est un solitaire qui crée et invente à sa manière une vision du One-Man Band, avec machines synthétiques et modulaires. Exemple :

L’Anglais arrive de loin, sa musique Synth-Pop aussi. Avec un background musical assez hors du temps et hors des modes, Domestic Economy est une fabrique D.I.Y ou la Pop Synthétique se crame avec le 80’s de Cabaret Voltaire, le Swayzak  (période Dirty Dancing) et la voix de Talk Talk. Une création instinctive qui illustre bien qu’il est possible de prendre en compte ses influences sans en donner une pale copie. En ce sens, son premier album ressemble à l’énergie de LCD Soundsystem, via un côté épique et fédérateur … sauf qu’il est tout seul. Domestic Economy n’est pas nihiliste, et ne demande qu’à être compris.

LABEL / SOUNDCLOUD / ACHETER / DISCOGS

BSN Podcast – Replay du 24 juin

Cet été, le BSN Podcast sera dans la vague, sera sur le sable chaud, remontera dans le temps. Il se transformera en Summer Time Playa Mix N°XXX, tout en évitant la vulgarité, et toujours à 14h le vendredi pour sa première diffusion.

L’émission prendra ses quartiers d’été, et on écoutera durant la première heure un bon dosage entre Disco en provenance de la Suède ; l’esprit des jeux-vidéos en mode Grime & 2-Step Anglaise ; de la Funk House efficace ; du Hip-Hop hyper FAT.
La deuxième partie de l’émission sera consacré au Peacock Society festival, qui se déroulera le 6 et 7 juillet au Parc Floral à Paris.

BSN Podcast – Replay du 2 mars

Cette semaine, les grondements Juke de DJ Taye vont faire du bruit ; Tracey Thorn pour un retour modeste ; Aaron Spectre qui fait ressortir les limbes de la Jungle ; Alva Noto toujours dans une avance absolue ; L’illumination tout en cohérence de Peggy Gou ; Emilie Nana en remix par Danny Krivit ; DJ Koze toujours dans la bonne direction et aussi un mix bien dans le délire Red Zone.

Chaque vendredi à partir de 14h en direct sur Radio Béton 93.6FM.
Seconde chance en replay, ici.

BSN Podcast – Replay du 2 février 2018

Cette semaine, une émission hybride s’offrira à vous avec le Dancehall étonnant et remarquable de Errorsmith ; Atom TM, l’outsider de génie ; Evidence et son nouvel album en Instant Classic (comme le nouvel album de Dabrye) ; le très intimiste 1954 ; le fascinant nouveau morceau de James Blake ; une sélection Transe Acid-Core (oui oui !!!) avec Trancemaster ; Mark N.R.G ; Ilsa Gold ; Cherrymoon Trax II ; Drax LTD II ; F.E.O.S vs M.S.O ; Fuse vs LFO et une fin Techno vs Kuduro.

  • Funksignal (Raster Noton) by Atom ™
  • Mashchinenwalzer by Atom ™ & Lisokot
  • Great Five Lakes (Kurt Masta Kurt Mix) by Buffalo Daughters
  • Take You There by Pete Rock & CL Smooth
  • Stranded feat Fatt Father by Dabrye
  • What I Need by Evidence
  • Eyes Open ft Roots & Deborah Jordan by TY
  • if the car beside you moves ahead by James Blake
  • To Die For by 1954
  • Vroom Vroom + Silverware by Charli XCX
  • Retired Low-Level Internal Server by Errorsmith
  • Work ft Drake by Rhianna
  • The Mysterious Ashley Bickerton by Gray
  • Neptune’s Orb by Trancemaster
  • Don’t Stop by Mark NRG
  • Let There Be House by Cherrymoon Trax II
  • My Red Hot Car by Squarepusher
  • Amphetamine by Drax LTD II
  • Up by Ilsa Gold
  • Our Music by F.E.O.S VS M.S.O
  • Loop by Fuse vs LFO
  • El Cobra Discoteca by Birdy Nam Nam